Pour saboter les révélations du Canard, Marylin organise un entretien entre Francoeur et un journaliste du Figaro lors duquel le candidat affirme être victime de fausses rumeurs. Mais, peu après, Francoeur révèle à César qu’il est bien en possession d’une étude de Goya, qui appartient en réalité à sa fille, reçue en héritage de sa mère décédée. César n’est pas tranquille : c’est la première fois que son patron lui cache une vérité. Francœur s’apprête à faire une annonce importante au JT pour donner un nouveau souffle à sa campagne. Mais Bernard Janvier, le président en exercice, lui coupe l’herbe sous le pied en annonçant aux Français qu’une maladie grave l’empêche de briguer sa propre succession. C’est son dauphin, le redoutable ministre de l’intérieur Vital, qui sera l’adversaire de Francoeur. Le soupçon sur l’implication de Francoeur dans la fraude se confirme. César doit en avoir le cœur net, lui seul peut obtenir des réponses du patron.